La tradition protestante cévenole perdure d’inhumer les défunts en terrain privé. Ainsi le préfet Claude Érignac (1937-1998), originaire de cette région, ne repose-t-il pas au cimetière du village de Montbrun.
L’urne contenant ses cendres a été scellée dans une pierre de sa maison familiale, « Les Faïsses ».
Rappelons qu’il fut lâchement assassiné dans l’exercice de sa fonction (il avait été nommé en janvier 1996), d’une balle dans la nuque, le 6 février 1998. Né à Mende, il avait auparavant été préfet de Meurthe-et-Moselle puis des Yvelines.