Hélas, ils ne sont plus ! Cependant je crois voir,
Parfois, à mes côtés, leur ombre se mouvoir,
Je reconnais leurs traits, j’entends leur voix aimée…
Non ! D’une main de bronze à tout jamais fermée,
L’ÉTERNITÉ les tient en de sacrés séjours,
Où l’on entre une fois, pour demeurer toujours…
Hélas, ils ne sont plus ! Cependant je crois voir,
Parfois, à mes côtés, leur ombre se mouvoir,
Je reconnais leurs traits, j’entends leur voix aimée…
Non ! D’une main de bronze à tout jamais fermée,
L’ÉTERNITÉ les tient en de sacrés séjours,
Où l’on entre une fois, pour demeurer toujours…