Pleurons ! Elle n’est plus cette épouse chérie
Avec qui de l’hymen je goûtais le bonheur,
Chers enfans qu’elle aimait, qui lui devez la vie,
Imitez ses vertus, partagez ma douleur.
La mort, en vous privant des baisers d’une mère,
Laisse à vos jeunes ans un consolant appui.
Vous avez dans les cieux un ange tutélaire,
Il vous reste ici-bas un bon père, un ami.

29 octobre 1824

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