À mes Enfants.
Moi qui n’aimais jamais attendre,
sous ce marbre un jour je viendrai,
très longtemps je vous attendrai,
pour n’être plus rien… que des cendres.
Juillet 1958
À mes Enfants.
Moi qui n’aimais jamais attendre,
sous ce marbre un jour je viendrai,
très longtemps je vous attendrai,
pour n’être plus rien… que des cendres.
Juillet 1958
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