Après celles de Léo Chauliac, Roger Moore, Alfred Savoir, Rémy Kolpa-Kopoul, Claude Moliterni, Arnaud Hamelin, Paul Tourenne, Emmanuel Maubert, Bernard Spindler et Michel de Boüard, une nouvelle sépulture inédite de célébrité…
Direction, l’insouciance des années 70…

Il avait nom Pierre RIGAUD (1947-2017) mais s’était rebaptisé Gepetto Ben Glabros. Sous ce nom, il fut le saxophoniste du groupe « Au bonheur des dames », créé en 1972, qui mêlait si bien le rock’n’roll des « sixties », le burlesque et l’humour.

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Il porte sur ce cliché son fameux béret (à gauche).

En 1974, impossible d’échapper à leur immense succès, « Oh les filles ! »
Plusieurs fois dissous et reformé, le groupe avait répondu en 1995 à l’invitation de Jean-Pierre Foucault pour interpréter son « tube ».

Pierre Rigaud dont les amis saluaient les « solos d’aérophone à lamelles vibrantes », mourut du cancer et fut crématisé au Père-Lachaise fin août 2017 avant que ses proches ne se retrouvent pour un boeuf à sa mémoire au bien nommé café « Le Purgatoire », boulevard de Ménilmontant.
Ses cendres ont été déposées dans une tombe encore vierge de monument, dans le haut de la 68è division du Père-Lachaise.

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Une découverte de plus dont nous sommes redevables à notre ami Jean-Philippe qui avait déjà localisé au Père-Lachaise la sépulture de Masseïda, modèle et compagne du peintre et affichiste Steinlen.

 

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