Le 2 novembre 1979, il y a quarante ans, Jacques Mesrine (1936-1979) était abattu porte de Clignancourt.

-2607.jpg

Depuis, la fascination n’est jamais retombée et sa tombe demeure la plus visitée du cimetière Nord de Clichy (Hauts-de-Seine), par ailleurs sans grand intérêt historique ni architectural.
Il y est enterré auprès de ses parents, son père décédé en 1973 et sa mère qui les rejoignit en 1992. Son identité est parfaitement apparente sur le côté de la dalle recouverte de plaques autant admiratives que revendicatives.

-2610.jpg

-2609.jpg

-2611.jpg

-2612.jpg

La sortie en 2008 du film L’Instinct de mort raviva l’intérêt d’un public souvent jeune pour le personnage. Quant aux anniversaires à chiffre rond, ils continuent d’être célébrés.

Preuve de ce culte singulier, un rassemblement de nostalgiques, certains venus avec du champagne, eut lieu devant sa tombe ce samedi 2 novembre 2019…

Son fils, Bruno Mesrine (1964-2022), mort accidentellement, repose désormais auprès de lui.

Related articles