Le 29 septembre 1642, Sedan devenait française. Pour l’occasion, bref détour vers le cimetière local pour saluer un de ces humbles défunts dont les livres officiels et les sites du même acabit ne parlent jamais : un Français qui traversa le XXè siècle (1903-1994) et rima son épitaphe :

Musicien, sportif, bohême,
Rapin (et par devoir guerrier),
Ci-gît Louis Marcel Perrier
(Il rêve à son prochain poème)

Au cimetière de Sedan

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