J’apprends ce soir que plusieurs dégradations ont été constatées sur la tombe de Claude François, au cimetière de Dannemois (Essonne). Des plaques commémoratives auraient été brisées, et ce quelques jours seulement après le 35è anniversaire de la mort de l’artiste, décédé le 11 mars 1978.
Demain dimanche, l’information sera relayée avec abondance et les remarques des commentateurs fleuriront. En attendant, et je ne suis guère suspect de parti pris envers l’intéressé dont l’oeuvre ne m’a jamais élevé l’âme à des sommets incandescents, les mots qui viennent appartiennent tous au même registre et n’auraient pas moins de force pour un défunt inconnu : intolérable, indéfendable, imprescriptible.