Il y a un an, le lundi 1er octobre 2018, mourait soudainement Charles AZNAVOUR.
Au terme d’une vie de quatre-vingt-quatorze années incroyablement riches, il fut inhumé dans la chapelle funéraire familiale qui domine le vénérable cimetière de Montfort-l’Amaury (Yvelines).
Il y a rejoint ses parents, Misha (1897-1978) et Knar (1902-1966) Aznavourian ainsi que son fils, Patrick (1951-1976), mort d’une surdose, et son beau-frère, Georges Garvarentz (1932-1993) qui avait composé les musiques de quelques-uns de ses plus grands succès (Et pourtant, Hier encore, Paris au mois d’août, Emmenez-moi, Désormais, Non je n’ai rien oublié, Les Plaisirs démodés, Pour toi Arménie…).
Lors de ma dernière visite (le lieu, qui fera l’objet d’un prochain article, est riche, très riche, en tombes illustres et curiosités funéraires), un après-midi de semaine, j’ai vu en deux heures une bonne vingtaine de personnes se succéder devant sa tombe, égrener leurs propres souvenirs et parfois y laisser du courrier…