Il y a ceux, tels Jean-Luc Delarue, autour de la dépouille duquel tant s’agitent (aux journalistes et internautes qui m’interrogent sur le sujet : je n’ai pas plus d’élément à verser au dossier que d’avis sur la question), dont on ignore où ils reposent car leur nom n’apparaît nulle part et d’autres, comme ces deux frères normands, qui avaient tout préparé et l’avaient fait savoir sur leur tombe mais dont visiblement personne n’a voulu payer les frais de gravure des années de décès…
Ainsi, Octave et Paul sont entrés à leur façon dans l’immortalité.