Vingt-cinq ans après sa mort, une partie de la maison de Dalida, située dans l’angle de la rue d’Orchampt et réaménagée depuis son décès, est à vendre. L’ensemble, qui occupe la partie haute de l’édifice, se présente sous la forme d’un duplex de 100 mètres carrés qui offre une vue sur Paris qualifiée par les experts d’époustouflante. Si ces murs désormais historiques (une plaque est apposée à l’extérieur de la propriété que ne manquent de présenter à leur auditoire les nombreux guides touristiques qui sillonnent la Butte) vous intéressent, sachez néanmoins qu’il vous en coûtera pour vous les approprier aux alentours de 23500 euros le mètre carré.
Autre vente, aux enchères cette fois et prévue le 28 février, celle du mobilier de Jean-Claude Brialy. L’appartement parisien du comédien a été vendu par son compagnon et ce sont quelque 600 pièces qui seront proposées aux amateurs, pour l’essentiel des tableaux, objets et bibelots.
Enfin, preuve que les morts gardent le pouvoir de nous faire rire et sourire, c’est un festival Offenbach qui nous est offert au théâtre de Paris. Mis en scène par Alain Sachs, que j’avais eu la chance d’accueillir dans une promenade père-lachaisienne il y a une quinzaine d’années et qui sait de quoi il nous enchante, le spectacle Tout Offenbach ou presque mêle, dans une intrigue originale, les airs fameux mais aussi méconnus du compositeur. On a jusqu’au mois d’avril pour en profiter mais rien ne justifie d’attendre (http://www.theatredeparis.com/).