Voici, en ce 16 août, plutôt que de rappeler la bataille de Smolensk (1812), le drame de Hautefaye (1870) (un jeune noble lynché, lors d’une fête de village en Dordogne, par une foule hystérique qui brûla son cadavre et en aurait mangé une partie) ou le bombardement aérien (1943) qui anéantit la commune de Dugny, une inscription glanée en Franche-Comté, posée là comme pour nous rappeler que le pire est toujours certain.