Promise aux visiteurs qui m’ont accompagné ce jour lors d’une conférence inédite au Père-Lachaise, la photo de cette plaque funéraire débusquée cet hiver dans un cimetière de banlieue.

Beau comme un pseudonyme...

Beau comme un pseudonyme…

On sait que certains romanciers aiment à baptiser leurs personnages de noms glanés sur les tombes (Balzac le fit souvent et, plus près de nous, Boileau et Narcejac n’agissaient pas autrement). Quel génie, touché par l’inspiration, saura nous conter l’extraordinaire destin d’Aglophile Grenouillet ?

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